Saint-Martin-Choquel

À visiter autour de la ville de Saint-Martin-Choquel

Le Musée Jean-Charles Cazin

84 Grand’place Foch
62830 Samer (10 km)

C’est dans la ville de Samer, à 17 km de Boulogne−Sur-Mer que naquit Jean-Charles Cazin.

A 21 ans, il part étudier le dessin dans la Capitale. Il y rencontre sa femme Marie, sculptrice qui le représentera en bronze dans le Jardin Public de Samer.

Peintre qui s’inspire énormément de paysages comme les quais de Boulogne ou les dunes de Wissant, ses œuvres sont aujourd’hui exposés des États-Unis aux Pays-Bas en passant par Lille. C’est avec sa petite famille qu’il s’installe à Equihen qui sera la principale source d’inspiration artiste des Cazin. Suite à la mort de sa femme, il revend et s’installe à Bormes Les Mimosas dans le Var. Décoré de la Légion d’Honneur puis Commanditeur, il reçoit le grand prix de l’exposition universelle de Paris en 1900.

Le Musée Jean Charles Cazin est inauguré en octobre 1939, et regroupe un grand ensemble d’œuvres de la famille Cazin, au fur et à mesure le musée essaye d’acquérir des céramiques, dessins, gravures et tableaux.

Un vrai témoignage de la vie de cette famille Equihennoise, qui était véritablement inspirée des paysages de notre Côte d’Opale.

Le Château de Pont de Briques

62360 Saint-Léonard (18 km)

Construit vers 1640, le château de Pont-de-Briques fut le quartier général de Napoléon 1er de 1803 à 1805, pendant le Camp de Boulogne.

Transformé en orphelinat vers 1900, le château fut sujet à de nombreuses destructions dans le but de le remplacer par un axe routier. C’est en 1974 que la préservation du bâtiment fut acquise grâce à son classement Monument Historique.

Après avoir été longtemps laissé à l’abandon, le château de Pont-de-Briques connaît des restaurations depuis 2000. Le site, réaménagé en un espace muséographique, relate l’histoire du château de ses origines à nos jours en passant par la guerre entre la France et l’Angleterre et la vie de Napoléon à cette époque. Le but étant de la faire connaître du public. La création de la Légion d’Honneur et celle de la Colonne de la grande Armée y sont aussi évoquées.

De plus, ce site est un outil pédagogique puisqu’il permet aux enfants de découvrir une partie de leur histoire oubliée, la symbolique des monuments, ainsi que l’évolution de l’urbanisme du Boulonnais à travers de nombreux plans du Camp de Boulogne.